Les Indiens

C'est l'histoire d'une maison damnée, construite sur un lieu de rituels Indiens. Mais cette histoire ce passe avant que les locataires le découvre : C'est en 1924, que cette maison apparaît comme par enchantement sur le terrain en question. Les habitants du village, disent au autorités qu'ils l'avaient construite eux même, pour ne pas être dérangé par les touristes et les autorités soit - disantes a cette époque: compétentes. Mais enfin, ça leur foutait quand même la pétoche! Mais 3 ans plus tard, une famille constituée d'un père, d'une mère et d'une petite fille de 8 ans., emménagèrent le 23 mars 1923. Les deux premiers mois furent calmes contrairement aux histoires des villageois : qui d'après eux ,la maison serait l'œuvre du diable! Ce n'est que le 1er Juin que des bruits étranges se furent entendre dans la cuisine et dans la chambre de la fillette. A leur éveil, le père et la mère descendirent pour le petit déjeuner ; c'est alors que le père se rendit compte d'une anomalie sur le carrelage de la cuisine : un visage de vielle femme était apparu sur la céramique froide comme...(quelque chose de très froid!) Le père appela la police, car de toute évidence, il n'apprécia guerre qu'un types aux idées farfelues gribouille son parquet! Les parents étaient descendus à la cuisine et avaient vus la face dans le carrelage. Alors ils ont appeler la police et sont montés dans la chambre de la petite fille. Quand ils sont entrés, non pas une, mais une centaine de visages au teint noir et aux allures rabougries recouvraient l'immensité de la chambre. La police n'a décelée aucune présence d'empreintes ou de vandalisme. La famille fit refaire la totalité des murs et des planchers de la maison, mais rien n'y changea ! Les visage se multipliaient et ils commençaient a redouter le pire. Quand un matin, les visages avaient arrêter de se multiplier, mais ils avaient pris une autre allure : ils avaient l'air dégoûtés et en colère. Les parents montèrent dans la chambre de la fillette : ils ne la trouvèrent nul part. Seule une coulée de sang étendue sur le miroir, laissait signe de la jeune fillette. La police fit démolir la maison et des archéologues et des chercheurs creusèrent le périmètre des alentours : on retrouva nombre de dépouilles, cadavres et squelettes sous la maison. Parmi les corps (indiens comme stipulé au début de l'histoire) des débris de reliques de toute sortes, on retrouva la peluche préféré de la fillette qui avait disparue : dans les bras de son cadavre mutilé. La police locale c'est arrangé pour que cette histoire ne sorte jamais de ce village. Vous vous demandez sûrement : que j'ai dit dans mon histoire que la police s'arrangerait pour que ça ne sorte jamais du village, mais c'est à cause de la télévision qui est trop cupide pour garder un tel scoop secret!